Devons-nous pour autant suivre aveuglément les écrits de l’académicien Alain Decaux ou encore du grand ancien ministre de la francophonie Jacques Toubon  pour répondre le plu efficacement possible la « langue de chez nous », comme le disait Yves Duteil ?

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Ou alors acceptons-nous les nouveaux mots anglo-saxons qui enrichissent le Français, ou les bloquons-nous les tous tels les québécois, qui s’empressent d’inventer un équivalent Français à chaque nouveau terme issu du canada anglophone ?

That is the question !